Monday 28 February 2011

From an office window, from the end of the street, from the top of a hill



17 miles



17 miles hurts, but not like I thought it would.

I fell after 3 by the canal along the towpath, just at the bend where the route led up to the road, a flat road with no gravel nor puddles and a lot wider than the path beside the canal. Put a hole in my tights.

12 miles later and the guy running next to me for 6 or 7 of them tells me he's had a stone in his shoe since the towpath. It takes forever to overtake people when you're going marathon pace.

The miles ticked by.

Thursday 24 February 2011

Monday 7 February 2011

Leo da V interview practice

1.
Je m’appelle Guy Taylor et je viens d’une petite ville qui s’appelle Hertford. Ce n'est pas très loin de Londres. En fait, c’est à environ 30 kilomètres de Londres. Mes parents m’ont donné un nom français, mais en Angleterre on le dit Guy et pas Guy. J’ai un frère et une soeur - je suis le benjamin- et ils ont des noms français tous les deux. Mon frère s’appelle Oliver, c’est presque Olivier, et ma soeur elle s’appelle Helene, exactement comme Helene en français. On s’entend tous bien.

Après université je suis allé au Japon et j’y ai travaillé pendant trois ans. Depuis que je suis rentré en Angleterre, je travaille comme chercheur dans une maison de production a Londres. Donc, chaque jour, j’utilise mon japonais. Les e-mails de nos clientes au Japon sont écrits en Japonais et pour comprendre ce que nous devons faire, ce que nous devons chercher- les vidéos de youtube, les candidats et les endroits pour faire les tournages ou peut-être les sujets des nouvelles émissions de télévision japonaises.

2.
Eh bien.

Mes passe-temps- les sports.

J'aime beaucoup faire des sports. Depuis ma jeunesse, je faisais le course à pied de grands variétés: le jogging, l'athlétisme et le cross mais cet année je vais faire un marathon. C'est un peux individualiste mais avant de courir je fais la quête pour une œuvre de bienfaisance qui s'appelle Oxfam. Je dois ramasser deux mille livres.

En plus, j'adore faire des sports d'équipes. À l'école j'ai fait le rugby et bien sûr le foot mais ces derniers temps je faisais un nouvel sport: le frisbee. C'est un sport mixte, donc, on joue avec les femmes et c'est très, très fatigant parce qu'il utilise tous le corps- les bras pour lancer le disque, le tronc pour tourner rapidement, les jambes pour courir à toute vitesse- mais c'est tellement amusant. Chaque équipe joue avec sept personnes mixte mais on peut substituer; il faut qu'on reste immobile quand on a le disque et comme le foot américain, pour marquer un but on dois attraper le disque dans le zone de but, au fin de terrain.

3.
Bon.

Mes espoirs.

Cette année, à partir de septembre, je vais suivre une formation pour devenir un instituteur aux écoles primaires. J'ai passé trois ans au Japon comme assistant puis comme instituteur à l'école maternelle-c'est-à-dire une école bilingue pour les élèves de moins de six ans. Dès qu'ils arrivent et entrent dans la salle de classe, les enfants japonais essayent de parler en anglais.

L'école primaire à Londres où je vais commencer ma formation cette année est en train d'introduire l'enseignement bilingue français-anglais. En partenariat avec une école française, chaque semaine les élèves suivent les cours en français et en anglais.

Cet été, je voudrais participer au projet européen d'échange professionnel à Bordeaux, pour pratiquer le français, avant de commencer ma formation.

4.
Pourquoi voulez-vous aller en France cet été, avec ce projet?

Je veux y aller parce que j'aimerais améliorer ma connaissance en français et prendre part à la création de liens internationaux. J'ai déjà commencé à écrire un petit journal sur l'internet assister avant aller en France. En plus, je veux aller pour avoir une expérience professionnelle à l'étranger. J'ai déjà passé trois ans au Japon et je crois que j'ai eu des expériences diverses de grande valeur là-bas.